Code Quantum ► Citations & Slogans de la série télé
Cette section rassemble les répliques cultes, les citations majeures et les slogans publicitaires de la série télé Code Quantum. Grâce à ces citations vous pourrez vous faire une idée du ton du produit. C'est aussi le meilleur moyen de se rappeler des meilleurs moments de la série télé. Quand aux slogans promotionnels, ils sont souvent courts et directs, de quoi résumer en une phrase toute une œuvre.
- Sam : Qui êtes-vous Monsieur ? - Al : Je suis Al. Je suis ton ami. Je t'ai donné ta toute première chance et tu es la seule personne qui ait cru en moi alors que je n'arrivais plus à croire en moi-même.
Je sais pas qui c'est ce Dracula mais en tous cas il m'a collé une de ces soifs !
Oh bravo ! Je peux être vu par les enfants, par les chiens et voilà que maintenant je peux être vu par les déficients mentaux ! Et pourquoi pas par les filles ?!
Vous aviez dit que vous m'aideriez à sortir d'ici ! Je ne me plais pas tellement ici.
- Sam, à bout de ressources pendant le combat : Il faut que je l'endorme en privant son cerveau d'oxygène ! - Al : Quel cerveau ?
Tu es un vrai Mensch, ce qui veut dire un type bien. C'est un mot que ma quatrième femme Ruth employait tout le temps... mais jamais à mon sujet.
Tu vois, Sam, sur ce genre de type, la télévision a une mauvaise influence.
C'est drôle, c'est la première fois que je vois un marteau pilon se déplacer tout seul.
Ca n'est pas moi, non. Ces gens qui me regardent n'existent pas. Rien n'est réel. Je ne sens pas l'odeur de la mort. Je ne ressens pas cette peur indescriptible qui devrait me paralyser mille fois plus qu'il y a deux jours. Je sais que Dieu, ou le Temps, ou qui que ce soit qui éprouve ma foi ne m'a pas abandonné. Je le sais. Je le sais.
Si c'est ça le frisson de la victoire, je ne tiens pas à connaître l'angoisse de la défaite.
Vous n'avez pas l'air de réaliser : j'ai toujours fait tout ce qui m'a été demandé, et je persiste à croire que je ne mourrai pas aujourd'hui dans cette prison.
T'es pas égaré dans un grand magasin, il faut que je te cherche dans le temps !
Oh, certainement parce qu'on doit avoir du mal à respirer après avoir reçu une décharge de 2000 volts !
Non je n'ai pas peur que vous me mordiez, vous m'avez déjà assomé, vous m'avez fait tomber, vous m'avez flanqué dans un tas de fumier, écrabouillé la tête, pêté quelques côtes, alors pourquoi est-ce que j'aurais peur que vous me mordiez ?!
Tu jettes hors de ta chambre le fantasme de tout homme digne de ce nom. Des fois, je me demande ce que tu as dans le pantalon !
Je ne suis pas comme ces gens-là. Quand j'étais jeune, je chantais Simon et Garfunkel.
- Marsha : Tu aimes mon nouveau déshabillé ? - Sam : Oui. Enfin je veux dire non. Enfin si. Non. Si c'est très joli. - Marsha : C'est pour toi que je l'ai acheté. - Sam : Aaaahaaa, ça m'étonnerait que ce soit ma taille. Mais bon, tu sais ce qu'on dit : c'est le geste qui compte.
J'en ai plutôt marre d'être sur les routes. En fait, ça me plairait assez d'avoir un endroit où je pourrais me poser.
Ne fais rien que moi je ne ferais pas mais si ça arrive, prend des photos !
- Sam : Oh j'ai jamais été aussi humilié... - Al : J'donnerais tout ce que j'ai pour être aussi humilié !
- Sam : Dans 24 heures ?? Et je suis censé faire quoi en attendant ?? - Al : Remuer ton gagne pain.
- Al : Mon avocat dit que ça serait mieux si je faisais plus... - Sam : Plus adulte ? - Al : pfff ! Non plus triste.
- Sam : Si moi je te fais rire, attends de voir mon partenaire, le capitaine Galaxy. - Al : il ressemble à une patate en papillote lui aussi ?
Tu vas faire une croix sur le fait d'être le premier homme à accoucher.
- Sam, excité : J'ai senti le bébé bouger ! - Al : Quoi ? - Sam, montrant son ventre : j'ai BEL ET BIEN senti le bébé donner des coups de pieds là dedans ! - Al : Des gazs !
- Le médecin : Même si tu ne sais pas t'y prendre, ton corps, lui, le sait. - Sam : Rien n'est moins sûr.
Je te lacherai quand t'auras promis de plus jamais embêter ton frère ! Ca veut dire plus de chatouilles, plus de savons, plus de genoux dans les côtes et plus de pinçons sur ma poitrine !
- Al, à Sam : Où vas-tu ? - Sam : Chercher de l'aide. - Al : Et moi alors, à quoi je sers ?!
- Al : Et tu ne sais jamais ce qu'il t'attend au tournant ! - Sam : Oh, y'a de fortes chances que ça soit un semi-remorque !
- Sam : Est ce qu'il y a seulement une chose que tu n'as pas faite ? - Al, lubrique : Et bien oui, y'en a une qui est impossible à faire sur une moto !
Je m'entretenais avec Maggie qui est ENCORE ma femme et Jaimie qui sera TOUJOURS ma fille !
Non Jaimie, arrête de bricoler ce truc ! Reste allongée bien gentiment ! Ne touche à rien ! Surtout ne fais rien ! Mais ?! Mais pourquoi j'lui dit tout ça puisqu'elle m'entend pas ?!!!
- Jaimie : On dirait que tu t'es fait salement moucher pauvre cloche ! - Al : J'aurais pas dit mieux, pauvre cloche !
- Mamma harper : Il semble qu'où que nous soyons, nous ne puissions pas échapper à la haine. - Sam : C'est peut-être pas l'endroit qui fait la différence mais les gens.
Tu sais combien de suçons elle m'a valu cette eau de toilette ??
Quand elle me regarde j'ai l'impression qu'elle veut se fondre en moi, entrer dans mon corps.
- Connie : J'avais comme des décharges électriques qui me transperçaient. T'as jamais ressenti ça ? - Sam : Une fois ou deux, si.
- Al : Je suis le yin et le yang, le bien et le mal, Dieu... - Sam : ... et le diable. Pourquoi fais-tu ça ? - Al : Pour mettre un terme à ta mission. Qui t'a arrogé le droit de voyager dans le temps pour corriger toutes mes actions ?! - Sam : Je veux seulement rentrer chez moi. - Al : Tu peux toujours t'accrocher pour ce qui est de rentrer.
Voyager dans le temps c'est comme regarder une photo : on est amené à revivre le passé avec un oeil critique.
- Sam : Je dois faire tout un tas de photos de mode, demain si j'ai bien saisi. - Al : Si c'est pour Play Boy fais moi signe.
- Sam : Voilà, Mesdames, ravi d'avoir fait votre connaissance... - Les soeurs Monticello, pincées : Comment ça notre connaissance ? Nous venons à la messe tous les matins !
- Père Mac : Vous avez entamé une longue croisade. - Sam : On peut dire ça, oui. - Père Mac : Ca peut paraître difficile à croire mais nous avons parfois des compensations.
Je crois que c'est toi qui n'es pas juste : je donnerais tout pour voir mon père et ma soeur ne serait-ce que quelques heures, pouvoir leur parler à nouveau, rire avec eux, leur dire combien je les aime. Je donnerais n'importe quoi pour être à ta place Sam, n'importe quoi.
Je fais toujours ce qu'il faut faire et qu'est-ce que ça m'apporte ? Pourquoi je sauve jamais les gens que j'aime ?
- Sam : T'es pas vieux papa, t'es comme dans mes souvenirs. - John Beckett : Depuis que t'es parti pour l'école ce matin ?
- Sam : C'est trop haut, lance moi une corde ! - Al : Tu sais ce que tu me demande là, Sam ?! Je peux pas, je suis un hologramme !
Je suis certain que vu tout le volume de tes tentatives, tu as eu au moins la chance de rencontrer le grand amour une fois ?!
Tous les bébés et tous les animaux peuvent me voir ainsi que les blondes dont le QI n'est pas très élevé.
- Sam : Est-ce que tu étais au courant ? - Al, se grattant la tête : Tu serais venu si je l'avais su ? - Sam : Non - Al : Alors je... j'en savais rien...
- Al : Maintenant, lâche la barre ! - Sam : J'peux pas ! - Al : T'es quoi, t'es une chiffe molle ? - Sam : Oui !
- Sam : T'es sûr de ça ? - Al : Ah ah ! bien sûr ! Je me trompe jamais, moi... sauf dans mes mariages...
- Al : Sam, il te sera vraiment plus facile de la réceptionner si tu as les yeux ouverts... - Sam, les yeux fermés : C'est toi, Al ? - Al : Non, c'est Peter Pan !
- Sam : Attends, laisse moi deviner... tu t'es enfuis de l'orphelinat quand tu étais petit et tu as rejoins un cirque... ! - Al : Oui. Pas toi ?
- Al : Je l'ai jamais oublié... il s'appelait Kevin. - Sam : Ton voisin de chambre ? - Al : Mais non, le poisson rouge !
- Al : Oh, Sam, arrête ! Chaque fois qu'on a à se parler, faut aller dans les toilettes des hommes, c'est dégoûtant ! - Sam : Tu connais peut-être un meilleur endroit ?! - Al : ... Dans celles des dames !
Quand j'étais gosse, j'étais heureux quand un cirque s'installait en ville, mais bien sûr, je n'étais pas à six mètres du sol, accroché sous le chapiteau, la tête en bas...
- Sam : Al, tu m'as fais peur ! - Al : Je t'ai fais peur ? - Sam : Et oui, sortir du cercueil comme ça... - Al : Tu crois que ça m'a amusé ? Ce genre de mise en boîte c'est pas mon truc.
Ces fichus blancs, ils sont pas très doués... sauf pour faire d'autres blancs !
- Kenu : As tu déjà fait un bond sans avoir réussi à conserver ta vie ? - Sam : Non... - Kenu : quand tu feras un autre bond, n'oublie pas ça. - Al : Est-ce qu'il s'adresse à George ou est-ce qu'il s'adresse à toi en tant que Sam ?!
- Dana, râlant : Il n'y a pas de viande, faudra que je tue un ours ! - Sam, en aparté : Avec un peu de chance, ça sera l'ours qui la tuera.
- Sam : Dis moi quelque chose en espagnol - Al : Tu casa o mi casa - Sam : Chez toi ou chez moi ? Al !
- Sam : Je veux que vous foutiez la paix à Chuey et à sa mère ! - Ruben : Disons que je n'ai rien entendu... - Sam : Je peux l'écrire si vous savez lire !
- Mme Stoltz : Je ne regarde jamais la télévision. - Sam : Et que regardez vous alors, Mme Schtolz ? - Mme Stoltz : Jamais la télévision. - Sam : Oh, là vous plaisantez ! Tenez, moi je parierais que vous êtes accro à La 4ème dimension !
- Al : Je ne suis pas du genre nécrophile. - Sam, levant les yeux au ciel : Enfin une perversion sexuelle qu'il n'a pas !
Cette famille a connu autant de noyades qu' une portée de chatons non-désirée !
Mais je n'ai plus de vie à moi ! Tout ce que je fais c'est vivre la vie de quelqu'un d'autre, c'est réparer les tords qui ont été fait, adopter leur combat... J'ai l'impression d'être Don Quichotte !
- Sam : Mais avant que ces andouilles acceptent quelqu'un comme Jimmy ça risque de prendre un temps fou. - Al : On t' attend quelque part ?!
- Sam : Ma boutique, ma braguette est ouverte... - Boe : Objection ! - Le juge : On ne force pas un avocat à plaider avec sa braguette ouverte. Vous avez trois minutes, je crois que ce sera suffisant.
Moi aussi parfois j'ai envie de rentrer chez moi, mais je suis coincé. Tout ce que j'ai, ce sont des souvenirs qui ne représentent pas grand chose.
- Al : Si tous les hommes étaient libres de frayer avec toutes les femmes de la Terre, il n'y aurait plus jamais de guerre ! - Sam : Jusqu'à ce que leur femme le découvre ! - Al : Tu m'é-ner-ve !
- Rachel dans le noir, outrée : Chick ! - Sam : Oups. J'essayais seulement d'ouvrir la porte ! - Rachel : Les boutons de portes ne sont pas si bas, que je sâche !
Tu sais Sam, j'me demande si ce dernier saut dans le temps t'aurait pas fait un trou gros comme ça dans le gruyère qui t'sers de cervelle, parce qu'il faut être complètement à la masse pour faire un truc pareil !
- Fred : J'ai ce qui s'appelle pas mal de poids dans le coin ! - Al : Et ta ceinture en soutien une grande partie !
Al avait raison : j'avais envie de me venger. Alors j'ai sauté dans les talons aiguilles de Samantha, enfilé la robe la plus sexy dans laquelle je pouvais caser ma poitrine velue et j'étais paré pour donner à Budy un cours sur le harcellement sexuel qu'il n'oublierait pas de sitôt.
Toi tu te fais tout petit ou je te fais manger tes dents à midi !
- Sam, incrédule : Je serais bloqué là parce que je voudrais me venger ?! - Al : Typiquement féminin !
Elle a le plus incroyable... paire de voûtes en berceaux bien conservées !
Voyager dans le temps c'est un peu comme répondre à une petite annonce : la rencontre réserve parfois des surprises !
Gushie, dis à Ziggy qu'il me téléporte avec Miss Melny ! Tout de suite, c'est compris, ou j'te bousille ta p'tite gueule de fouine !
Et arrêtez de m'appeler Miss melny. On se croirait dans la case de l'oncle Tom !
Allons bon, me voilà en adolescent boutonneux, hum, avec des dents qui pourraient servir d'antenne radio !
T'en veux un morceau ? Oh, c'est vrai j'oubliais, t'es un hologramme !
J'ai connu Tina à une table de poker à Las Vegas. J'avais une quinte, elle avait une paire... oh, quelle jolie paire !
- Sam : Le watergate ? Désolé Al, je ne m'en souviens pas. - Al : Les Républicains t'adoreraient.
J'ai aimé toutes les femmes avec lesquelles j'ai couché... aussitôt après avoir couché avec elles !
- Al : Dans deux jours, les Russes vont abattre le fameux U2 ! - Sam : Le groupe de Rock ?
- Al : Les années 70 ont été une des périodes les plus heureuses de ma vie : le disco, les disques entraînants, l'heure d'été, la pilule, Faraw Fawcett, les Bee Gees, Travolta... - Sam : Les années de la décadence oui ! Ces gens la avaient la moralité de chiens en chaleur !
- Al : J'adore les mariages. C'est peut-être pour cela que je me suis marié cinq fois... et demi ! - Sam : J'ai des sueurs froides ! - Al : Ca t'a pas fait ça au tien ? - Sam, étonné : Je suis marié ? - Al, faux cul : Je plaisantais.
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