A.I. Intelligence Artificielle ► Anecdotes du film
Cette page rassemble les anecdotes du film A.I. Intelligence Artificielle, regroupées en différentes catégories.
Une petite histoire (Anecdote)
1973 : Stanley Kubrick proposa au romancier britannique Brian Aldiss, de travailler à l’adaptation cinématographique de l’une de ses nouvelles, “Des Jouets pour l’été”, publiée en 1969. les deux hommes travaillèrent ensemble, puis mirent fin à leur collaboration avant le tournage de SHINING. Kubrick garda les droit d'adaptation.
Confidentialité (Anecdote)
Stanley Kubrick souhaitait être simple producteur du film, en laissant à Steven Spielberg la tâche de le réaliser. Dès qu'il proposa cette offre à Spielberg, celui-ci rejoignit Kubrick en Angleterre et découvrit les milliers de planches réalisées à sa demande par l'illustrateur de comics Chris Baker (alias Fangorn). Kubrick exigea de son ami le secret absolu, et lui demanda d'installer une ligne de fax sécurisée afin qu'ils puissent communiquer directement en toute confidentialité.
Super Teddy (Anecdote)
Teddy, le super-jouet qui guide et protège David au long de sa périlleuse quête, associait les talents de dizaines de marionnettistes et infographistes. Il ne pouvait évoluer que dans des décors spécialement éclairés et aménagés pour dissimuler ses manipulateurs. En cas d'impossibilité physique (notamment dans les plans où la petite créature court et saute), la division informatique d'ILM prit le relais et substituait à l'ourson une doublure à l'identique. Les studios de Stan Winston fabriquèrent six versions de Teddy, dont certaines dédiées à des fonctions spécifiques, comme d'être portées ou hissées en l'air. Il y avait aussi un "Teddy cascadeur", un "Teddy furtif" et plusieurs demi-Teddies au visage figé dans une expression unique : sourire, inquiétude, etc. Haley Joel Osment dut porter dans plusieurs scènes cet ourson bourré d'électronique, pesant plus de 15 kilos.
Rouge City (Anecdote)
Rouge City fut pour Rick Carter et son équipe l'un des ensembles les plus complexes à dessiner et à construire. Certains des bâtiments furent réalisés grandeur nature, d'autres créés en image de synthèse. Le décor principal fut conçu pour dissimuler l'engin de levage de l'"amphibicoptère" à bord duquel s'enfuit David. Edifié sur un vaste plateau par Carter et son adjoint Jim Teegarden, Rouge City intègre nombre de dessins extravagants et érotiques de Chris Baker. Un œil aiguisé peut y découvrir quelques références malicieuses aux films de Kubrick, dont un milk-bar qui rappelle la séquence d'ouverture d' 'Orange Mécanique'.
La gondole (Anecdote)
Les séquences nocturnes de la Gondole et de la Flesh Fair furent tournées dans l'immense Spruce Goose Dome (200 mètres de diamètre et 30 mètres de haut), un site idéal pour ces épisodes violents et mouvementés. La Gondole, qui pesait près de dix tonnes, était suspendue à une grue de 300 tonnes.
Un effet qui ne laisse pas de glace (Anecdote)
Pour la séquence finale qui se passe dans un Manhattan submergé, puis envahi par les glaces, la production utilisa chaque jour jusqu'à 8 tonnes de glace pour réaliser cet effet.
Spielberg au travail (Anecdote)
Spielberg passa chaque jour quatre à six heures avec la déco pour travailler sur les story-boards et les modèles réduits.
un Gigolo Joe sexy (Anecdote)
Steven Spielberg qui voulait un Gigolo Joe sexy, distingué et romantique, demanda à Bob Ringwood d'étudier certains personnages romantiques du cinéma d'antan, dont Dracula.
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