Une autre trilogie pour les créateurs de Narnia
Par un producteur du Seigneur des Anneaux

Après s’être attelé à l’adaptation cinématographique des Chroniques de Narnia, la maison de production Walden Media adaptera une autre trilogie littéraire. Il s’agira cette fois de la trilogie d’Isabel Allende racontant les aventures du jeune Alexander Cold, qui débute avec le roman La Cité des dieux sauvages. L’histoire conte les aventures du jeune Alexander confié à sa grand-mère paternelle quand sa mère tombe malade. Celle-ci ,journaliste, l'emmène en expédition au coeur de l'Amazonie. Voyage parsemé d'embûches, de rencontres, de complots, de découvertes et de fantastique.
L'adaptation sera produite par Barrie M. Osborne, producteur sur la trilogie du Seigneur des anneaux. David Rothenberg se chargera de confectionner le scénario à partir du roman.
Les autres volumes de la série, Le Royaume du dragon d’or et Forest of the Pygmies, encore inédit en français, seront adaptés à leur tour si le premier film a du succès.
A noter également et comme nous l’avions supposé dans nos colonnes que le réalisateur Andrew Adamson a confirmé qu'il sera à la barre de la série The Chronicles of Narnia. Après avoir réalisé le premier chapitre des chroniques de Narnia , le réalisateur va donc s’atteler à la réalisation de la production du film Prince Caspian , quatrième volet de la saga de C.S Lewis.
Le cinéaste affirme être particulièrement safisfait du succès rencontré par son film et des recettes cumulées depuis sa sortie. Il souhaite par ailleurs faire confiance sur la même distribution que pour le premier tome.
« Le prochain devrait être Prince Caspian, car c'est le seul autre avec les quatre enfants. Si nous ne le faisons pas tout de suite, nous ne pourrons le faire, car ils deviendront trop vieux. Cette chronique est prévue une année après l'autre, ce qui permettra aux enfants de vieillir un peu. » précise-t-il.
Concernant la possibilité qu'il réalise tous les films de l'oeuvre de CS Lewis, Adamson commente : « Je serais parfaitement heureux de les faire tous les sept! » On veut bien le croire.