Le livre de toutes les heures : Vélum #1 [2008]
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Impatience Bientôt

Depuis des temps immémoriaux, le siège de Dieu est vacant. Ses anges et tous ceux dont le sang se charge d’un parcelle de divin, les Amortels, se sont divisés en deux clans : les Souverains et l’Alliance. Leur guerre n’a pas lieu dans le cieux, mais sur le Vélum, ce tissu de mondes comparé auquel notre Terre n’est qu’une trace de crasse sous l’ongle d’un pouce. Pour Finnan et Phreedom, qui refusent de choisir leur camp, le temps est compté, car la guerre des cieux sera bientôt totale. Parution évènement de l’année 2005 en Grande-Bretagne, Vélum est le premier volume d’un diptyque, Le livre de toutes les heures, qui s’achèvera l’an prochain avec Encre. Souvent comparé à l'Echiquier du mal, cette fresque apocalyptique, d'une ambition rare, s'adresse tout autant aux lecteurs de Dan Simmons qu'à ceux du Festin nu William S. Burroughs. Hal Duncan est écossais. Il vit à Glasgow. Le succès de Vélum, traduit dans de nombreux pays, lui a permis de devenir écrivain à plein temps.

Date de sortie en France : 11 septembre 2008
Titre Original : Vellum
Oeuvre : Le livre de toutes les heures
Thèmes abordés: Fantastique , Anges et Démons

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Les personnalités principales et leurs rôles dans le casting

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Commentaires des membres (3)

L'avis de la communauté SciFi-Universe.

  • -
    Très jolie critique...

    ...Qu'on aimerait voir plus souvent.

    oman.
    oman
    le 16 octobre 2008 08h51
  • 100
    J'en suis à la première relecture et je pense même relire une troisième fois la seconde partie du livre, dont les morceaux sont plus difficiles à assembler. Preuve s'il en est qu'Hall Duncan a parfaitement réussi à rendre réél la suréalité multidimensionnelle du vélum par la façon dont on est obligé de le lire pour le comprendre. Que du bonheur quand on comprend soudain le sens d'une phrase en se souvenant de ce qui a été déjà dit en avant ou en arrière de la narration. Bien que nous, lecteurs, soyons coincés physiquement dans une seule dimmension de temps, notre esprit, lui, doit faire des sauts à gauche, à droite, en haut ou en bas, ou mieux, à côté. Une lecture atemporelle en quelque sorte. Jouissif pour lecteurs amortellement envoutés.
    hyperion
    le 17 janvier 2009 08h47
  • 90
    Si Velum fut un grand moment de désarroi puis de passion, devenu une hantise (au sens de hanter, occuper de l'intérieur), relu avec acharnement et bien plus de compréhension avant d'enchaîner sur le didactique Encre -que j'ai attendu des mois en harcelant mon libraire pour finalement louper la sortie-, Encre, donc, m'a curieusement laissé un goût d'inachèvement. C'est peut-être le but. Mais je me serai volontiers passée de l'épilogue (ou, romans dans le roman, comment ma famille m'aurait inspiré si j'en avais eu une doublé de avec la mortalité l'âme que j'ai conservée est hétérosexuelle). Cela dit, je n'ai peut-être rien compris à l'épilogue... pas plus qu'à plein d'autres choses, sans doute. Quoi qu'il en soit, ce Duncan est cintré, nourri à la panse de brebis farcie au peyotl et bon dieu que ça fait du bien !
    charlotte
    le 1er décembre 2009 16h50

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Informations complémentaires sur Vélum

  • Titre (France) : Vélum
  • Titre (Royaume-Uni) : Vellum