Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal ► Critiques & avis sur le film

Critiques du staff sur le film Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal

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Commentaires des membres (16)

L'avis de la communauté SciFi-Universe.

  • 90
    PAS DE SPOILER, vous pouvez lire sans crainte.

    Comme je l'ai dis, c'est du pur Spielberg & Lucas...
    Je sort tout juste de la première de minuit et j'ai trouvé que le film s'inscrit parfaitement dans l'ensemble de la saga Indy.
    Fallait bien sur s'y attendre, Mister Ford a vieilli et de même pour Karen Alen. Heureusement l'histoire arrive sans problème à nous faire oublier ce détail. En ce qui conserne la scénario, je ne suis pas dutout surpris qu'il est mis plus de 10 ans à l'écrire. Ce que je veux dire c'est qu'il ne faut surtout pas s'attendre à voir un film classique à Indiana, surtout pas. Pour aller le voir et l'aimer il faut prendre en compte non seulement que les acteurs ont vielli mais aussi que la façon d'écrire et de penser des scénaristes et des réalisateur à évolué en 19 ans.
    Certains diront surment que le film fait trop science-fiction mais moi je ne suis pas d'accord, il y a autant de SF dans cet optus que dans les précédent, ce ne sont que les techniques enployé qui ont changé et rendu les effets plus fluide.
    De toute façon chacun à ses propres attentes alors si vous ne voulez pas etre deçu n'allez pas le voir car le désir est plus fort que la possession mais si vous voulez passer un bon moment de divertissement et retouver notre archeologue préféré alors dépéchez vous d'aller dans un bon ciné pour le voir.

    Vive Indy !,
    Vive Spielberg !,
    et Vive Lucas !

    PS: le film ne manque pas d'humour avec des scènes aussi drôle que la scène où Indy tue à coup de revolver le sabreur egypsien.

    PS 2: J'écrirais un autre commentaire beaucoup plus tard pour éviter de spoiler pour le moment.
    Darth Plejus
    le 21 mai 2008 03h17
  • 90
    Excellent !

    C'est vrai qu'il n'est plus très jeune Indy mais à aucun moment on ne s'ennuit. Il y a de l'action à tout moment et le coup de la fin était franchement géant ainsi que la zone 51 !

    Enfin peut être est ce seulement que je suis un grand fan de la série X-Files ...
    Whinging
    le 21 mai 2008 19h17
  • 40
    ATTENTION SPOILERS

    Je n'ai pas complétement aimé ce 4e Indy. Il y a de bonnes choses, d'autres beaucoup moins bonnes. Vraiment moins bonnes.
    C'est clairement le moins bon des quatre films. Tout me semble survolé. L'histoire l'est, les personnages, les relations. J'ai un peu une sensation de Star Wars Episode I finalement.

    Les bonnes choses :
    - C'est Indy, merde quoi.
    - Le personnage de Mutt est pas mal trouvé
    - La zik de John Williams est géniale
    - La scène où Indy évoque son père a retourné mon petit coeur de fan, surtout avec la musique de la Dernière Croisade
    - Quelques très bonnes scènes d'actions
    - Les passages où Indy évoque son passé entre la Dernière Croisade et maintenant, le fait que le personnage ait muri, sache plus de choses, est vraiment bien bien fait.
    - La relation père fils inversé

    Les mauvais points
    - Tout est survolé. Les personnages sont creux et, du coup, dispensables.
    - Certaines scènes, notamment une partie de la poursuite dans la jungle sont complétement ridicules.
    - Les scènes des chutes d'eau et -surtout- des singes sont d'une bêtise incroyable (des idées de Lucas ?)
    - La scène de la bombe nucléaire
    - Le scénario blablate trop, ça manque du coup d'action.

    Et, d'une manière générale, la magie ne prend plus. Trop de choses légères ou débiles pour que ça soit vraiment bien.
    Le problème du film me semble être un problème de choix. En zappant certaines choses au profit d'autres, ça aurait pu être énorme.
    Là, c'est juste un bon film d'une manière générale, au dessus des autres films d'aventures qu'on a pu voir ces dernières années.
    Mais ce n'est pas un très bon Indiana Jones.

    NB : la note, pour le même film, mais avec d'autres personnages aurait été plus haute. Mais là, il s'agit d'une des plus grandes franchises de l'histoire du cinéma. Cette arnaque ne mérite donc pas plus de 4.
    Marcolas
    le 22 mai 2008 13h17
  • 50
    quelle idée !! des extraterrestres ! toujours plus ! tout était parfait les acteurs bon et Mr. Ford a bien vieilli, un scénario qui reprend une légende ! mais les effets spéciaux sur les animaux n'ont apparemment pas changés depuis "Jumanji" c'est ça ?! l'histoire aurait pu être belle mais voilà on fourre des extraterrestres en plein dedans . . . Ou alors faut bosser les effets, dés le début les chiens de prairies sont pas crédibles dutout ! bon allez j'arrête je m'attendais à mieux c'est sûr !
    brutal
    le 23 mai 2008 00h50
  • 50
    Il est vrai qu’il faut absolument essayer, je dis bien essayer de mettre de côté l’énorme attente (19 ans quand même !), car elle a laissée place à beaucoup trop de fantasmes chez les fans de la première heure (et les autres aussi) et de ne pas tomber dans le piège du film que l’on aurait aimé voir.

    Maintenant, on peut toujours dire que Spielberg n’as pas son pareil (quoi que) pour filmer des poursuites, de l’action, qu’il fait des super plans, etc. bref tout ce qui est (juste d’une part) et qui fait qu’on aime Steven, et donc indy.

    Ceci étant, au service de quoi ? Ce qui fait selon moi qu’une scène d’action, ou de suspens ou de ce que vous voulez d’ailleurs est réussie, c’est l’ensemble de la séquence, dans laquelle s’intègre la scène (et par delà tout le film). En gros mettre tout ce talent au service d’un scénar aussi naze !!!!! Ca ne sert pas à grand-chose.

    Le film qui souffre de graves problèmes de rythme, est paradoxalement trop rapide. Les choses sont expédiée à la va vite, là ou jadis, tant dans les dialogues que dans la mise en scène de ses personnages, Spielberg prenait non pas son temps, mais le temps qu’il fallait pour raconter son histoire. Histoire a laquelle le public pouvait croire.
    C’est la règle de base de pratiquement tous les films, (sauf les nanars, et en plus il y a ceux qui le sont et ceux qui s’ignorent !!).

    Au cinéma on peut nous faire croire a tout et presque n’importe quoi, pour peu qu’on se donne un peu de mal pour nous y intéresser.


    Spielberg a déclaré qu’il ne voulait pas renouveler le genre avec ce quatrième opus. Ben félicitations ! Ca pour une réussite c’est une réussite !

    Juste un exemple : La fin n’est pas sans rappeler celle du « Retour de La Momie » (un comble, pour un film qui s’inspire lui directement d’Indy !!!).

    On se demande si cette déclaration ne lui ai pas venue après le visionnage de son propre film ..il s’est peut-être dis « Oups !…à force de faire de clins d’oeils aux précédents Jones , (je ne fais pas la liste, elle est trop longue), a force de références à la série du jeune Indiana Jones (Dont deux manifestes, l’une quand Indy explique qu’il a été kidnappé par Pancho Villa, et l’autre le fait que Mac l’appel « Jonesy »), a force de…ben.. ouais je crois que je vais me protéger en disant une connerie du genre ! »

    A propos de déclaration, Spielberg, encore lui, en fait une belle dans le dvd collector de « Duel ».
    Il dit qu’il ne pourrait pas se lancer dans un projet comme « Duel » aujourd’hui, entre autres parce qu’il s’est « embourgeoisé ».
    C’est lui qui le dit ! Je crois que ça vaut aussi pour Indy 4.

    Scénario nul, réalisation peu inspirée, gags approximatifs, bref le film est à l’image de l’ouverture, la montagne (logo Paramount, remarquez que dans les trois autres, ce sont toujours des montagnes, même sur le Gong du Temple et pas dans le 4) a accouchée d’une souris ! Et en plus c’est vraiment à l’écran !!! (ok, ok c’est pas une souris mais presque !)

    Je leur en veux à Lucas et à Spielberg, car ils avaient de l’or dans les mains ! Oui ça fait du bien de revoir Indy. Oui ce film fera partie de ma collection dvd, oui s’il y a un 5 j’irais le voir, mais il n’empêche que Indy 4 est une déception.
    pao
    le 24 mai 2008 01h55
  • 50
    Pour le côté SF, c'est une très, très bonne idée, car cela va de paire avec l'époque,(la peur de l'invasion des petits hommes venant de la planète rouge, soit les communistes).
    Mais on ne fait pas un film comme Indy sur une bonne idée et quelques mauvaise autres!Non? Quand on revoit X-Files, il y a tout une façon d'amenenr les "choses", on cogite, la tension monte, ,etc...mon fils qui a trois ans ne peux pas regarder un épisode de x-file, en revanche il était avec moi dans la salle pour Indy 4 et il s'est bien amusé!!
    Par ailleurs je voulais juste faire remarquer à Darth Plejus, que les techniques (en régle générale) ont évolués, mais en ce qui concerne la façon d'écrire (euh....) Je ne crois pas que cet indy 4 soit évolué en quoi que ce soit.
    D'ailleurs j'invite Darth à revoir les interviews de Spielberg( ou à les relire) il n'arrête pas de dire qu'il a tout fait (et au vu du résultat on se demande ce q'il fume?)pour être raccord avec l'esprit de la saga.
    Ce qui ne veux pas dire copié/collé, mais en aucun cas il est raccord. Je n'attendais pas une histoire en particulier, ni une façon de l'écrire non plus, je me foutais royalment du support, Haute définition ou pas, des années 50 ou pas (que je trouve une bonne chose), mais tout simplment j'ai payé pour voir un film d'aventure qui surpasse les autres (les erzast) et ce n'est pas le cas, et en plus je le redis, et c'a n'a rien avoir avec l'évolution de l'écriture (car ce sont les moeurs qui évoulent, pas la façon d'écrire, as-tu déja écris ou lu un scénario?), mais avec l'histoire qu'on nous raconte et du comment on nous la raconte.

    voila et je maintiens que Indy 4 a été bâclé.

    Pao
    pao
    le 24 mai 2008 10h44
  • 80
    Au vu de tout ce que les messieurs Lucas et Spielberg ont révélés sur ce nouvel opus, je m'attendais franchement à un Indiana Jones plus sombre et mature que La Dernière Croisade, revenant au fondement même du premier film,à savoir fantastique, horreur et exotisme...Spielberg nous à promis un film digne des Aventuriers de l'Arche Perdue, "sans effets speciaux numériques derniers cris, sans gros clin d'oeils au autres films, sans le style "prélogie star wars", avec une histoire et un scénario fort"...

    Eh bien, on peut dire qu'on à été trompé sur la marchandise ! C'est ce qui s'apelle du "mauvais marketing" pur et simple : vendre un produit qui au final n'à rien à voir avec ce qui était annoncé !..."Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal" est un très bon film, certes, mais il est exactement le contraire que ce qui nous avait été promis...

    Film à prendre à part dans la saga, véritable cocktail de clichés, de clin d'oeil à outrance, d'humour (un peu lourd, voir ridicule par moment), d'effets speciaux numériques flagrants (il ne devait pas ne pas y en avoir ??), ce film est un Indiana Jones sans en être un. Il à la forme, l'enveloppe, les sons sont familiers, le personnage est là, mais le contenu est différent et se rapproche même de "La Momie" par moment... (un comble de plagier le plagiat !)

    Une bonne note pour les tandem Ford/Labeouf ainsi que Ford/Cate Blanchett, et pour la musique de John Williams !...

    PS : Ne lisez plus les critiques des journalistes de Cannes qui se sont vraiment mal conduits avec le film lors du Festival...(ils ont coulés le film lors de la première...sans véritable raison valable).
    Olive
    le 29 mai 2008 15h49
  • 70
    Me revoilà après une seconde projection à froid.
    Attention Spoiler ! ! ! ! ! ! ! !







    Alors après y être retourné une seconde fois avec l’esprit libre de toute attente, voilà ce que j’en dit.

    Scénario : Schématiquement le scénario est identique aux classiques d’où la critique de certains sur la monotonie et l’absence de nouveautés.
    Si non, on ressent beaucoup que G. Lucas et S. Spielberg ont passé énormément de temps et on eu énormément de mal à le construire. Cela ne m’étonne pas du tout étant donné que montrer scénaristiquement que 20 ans sont passés est très difficile surtout qu’étant une suite, les spectateurs ont beaucoup d’attentes. Une autre chose est qu’en vingt ans les acteurs ont non seulement vieilli mais aussi la façon d’écrire les scénarios et de penser des réalisateurs et de juger, des spectateurs à changé. En gros si les anciens Indy étaient sorti de nos jours, je pense que les gens auraient été déçu aussi.
    Le début du film change beaucoup des opus précédents où l’on retrouvait d’habitude le Dr. Jones en train de finir sa quête précédente. Ici on le retrouve capturé par les Soviétiques, dans le coffre d’une voiture. Même si cela n’est pas dérangeant, loin de là, on est un peu dérouté étant donné qu’habituellement on ne le retrouvait pas en si mauvaise posture et sans moyens même si par miracle il réussi à s’en sortir. D’ailleurs cet acte se fini par l’explosion d’une bombe nucléaire à côté d’un ville en kit où est coincé notre héros. Même si la vu du champignon atomique est tout à fait en accord avec les essais nucléaires de l’époque et montre bien l’horreur de son action dévastatrice pour ceux qui ne le savent pas, cette scène n’a strictement rien à faire dans l’histoire d’autant plus quelle provoque une situation mêlant le comique et d’inquiétude pour le héros qui sont complètement ridicule.
    D’ailleurs, j’ai lu pas mal de critiques sur le comique navrant du film, ce qui est en parti mon avis. Certes certaines scènes sont très drôle comme la bagarre dans le bar entre les sportifs et les gars en blouson noir, le changement de véhicules d’Indy durant la course de motos ou sa sorti de la bibliothèque de l’université sur cette même moto, mais une très grande parti des gags surtout celle des cactus que de prend Mutt durant la confrontation avec I. Spalko est stupide voire même abrutissant mais qu’en on y réfléchi bien, ce n’est pas uniquement la faute au scénario mais aussi à notre société. On sais très bien que S. Spielberg se base sur l’opinion des gens pour créer son histoire et que son publique est dans un premier ordre les fans mais dans un seconds les jeunes, les ados qui n’ont pas vu les précédents épisodes ou qui ne les ont pas vu du moins au cinéma comme cela devrait être le cas ; donc cela passe obligatoirement par l’influence des médias et il faut le dire, l’humour que l’on voit aujourd’hui à la télévision est affligent, stupide et surtout abrutissant (cf. Michael Youn ou autres émissions stupides pour ados qui existent autant en France qu’aux Etats-Unis).
    Que dire de la présence de la science fiction, c’est à la fois indispensable et malheureux. Il est impossible de faire une histoire sur les cranes de cristal sans en arrivé aux extra-terrestres. La majorité des théories sur leur origine tourne autour des aliens. Toute fois l’incrustation de cet aspect à été très mal fait. Non seulement nous nous retrouvons à ressentir la présence de la S-F ou du fantastique dés le début mais en plus la scène final de la soucoupe volant occulte complètement le personnage principal. Le Fantastique a toujours été présent dans les Indiana Jones, l’arche d’alliance qui réduit en cendre les nazis, les pierres de Sankara et leurs pouvoir et le pouvoir guérisseur du Graal toute fois il n’ont jamais mis hors course Indy. Cette fois-ci cela va trop loin car lorsque l’on quitte la salle de cinéma la dernière image qui nous reste en tête est l’expression de dégoût sur le visage de l’alien lorsqu’il observe de près I. Spalko et non le visage d’Indiana Jones.
    Personnages : L’apparition de nouveaux personnages et toute à fait naturel et marche très bien même si Mac n’est pas très convaincant surtout que l’on ne connais pas le passé qu’il a eu avec notre archéologue.
    La réapparition de Marion Ravenwood est génial même si en vingt ans son caractère n’a pas du tout changé ce qui est à la fois dommage car à coté du mûrissement d’Indy est à l’aire un peu fade mais d’un autre côté la changé aurait pu donner quelque chose de catastrophique.
    L’idée de Jeff Nathanson, la plus redouté, pour créer le personnage de Mutt est génial car au final dans le film c’est le nouveau personnage le plus travaillé du film, il est non seulement en rapport avec son époque mais en plus dès le départ on remarque sa ressemblance avec de Dr Jones qui s’avère plus tard être son père.
    Irina Spalko est le personnage le plus décevant. Bien qu’il soit en accord avec son temps et que Cate Blanchett joue très bien le rôle s’une soviétique, on ressent le personnage sur joué et pas très crédible non seulement à cause des situations dans les quelles elle se met, qui sont souvent indigne pour le rôle de principal méchant qu’elle joue, mais aussi à cause de son idée fixe de l’existence de la psyché et surtout des pouvoirs psychiques. Je pense que c’est ce détail qui rend dès le départ le film trop science fiction ou fantastique.
    Indiana Henry Jones Junior, toujours joué à la perfection par Harrison Ford. On voit très bien que l’acteur ne joue pas mais qu’il est le personnage. D’ailleurs ce dernier à visiblement mûri, à non seulement vieilli mais présence les stigmates tu temps du point de vu non seulement physique mais aussi psychologique. La plus belle scène et à la fois la plus nostalgique du film étant celle du professeur Jones assis à son bureau évoquant son père en regardant sa photos avec un aire triste, ça m’a retourné le cœur.
    Réalisation : Toujours aussi génial que dans les précédents, on voit très bien que S. Spielberg a cherché à tourner ses prises, les plus longues possibles et avec beaucoup de dynamisme. De ce point de vu, il n’y a rien à redire si ce n’est le manque d’animaux réels, remplacé par des animations 3D pas très réaliste, créé par ordinateur. On regrette notre petit ouistiti espion de l’arche perdu.
    Montage : Même si le montage et les transitions sont invisible à la projection contrairement à ceux de La revanche des Sith de George Lucas, le film va beaucoup de mal à garder un rythme régulier donnant une l’impression que tout va très très vite. Ce qui est dommage étant donné qu’on a pas le temps d’apprécier le film.
    De plus contrairement aux précédents opus, celui-ci manque cruellement de pauses où les personnages réfléchissent calmement à la situation dans la quelles ils se trouvent ou à la façon de résoudre le mystère qu’ils ont sur les bras et qui donne un moment de répit au spectateur, ce qui donne au final plus un film d’action que d’aventure.
    Musique et son : John Williams est un excellent compositeur, malheureusement son œuvre est beaucoup trop mis en arrière pour être pleinement ressenti, de plus la présence de musique d’époque casse avec l’habitude que l’on avait avec sa musique. Pour avoir une opinion sur la bande original, il faut attendre sa sorti en CD lundi 26 mai.
    Bien entendu le concepteur sonore de la guerre des étoile, Ben Burtt fait un travail excellent même si cela change de son travail habituelle où il créait des sons nouveaux pour ce qui appartient au domaine de l’imaginaire.

    Au final, malgré quelques déception et le fait qu’il aurait du sortir il y a 19 ans, je pense que Steven Spielberg et George Lucas ont réussi leur pari - qui n'était pas gagné d'avance. On a donc droit à un très bon moment de divertissement grâce à une réalisation magnifique, l’habituelle leçon de cinéma de Spielberg et d’apprendre enfin ce qui est arrivé à notre archéologue préféré durant ses 20ans années d’absence.


    Darth Plejus
    Darth Plejus
    le 5 juin 2008 12h40
  • -
    Darth pléjus, je ne peux m’empêcher de rebondir sur ta première partie.
    Une fois de plus je ne suis vraiment pas d’accord sur le fait que les déceptions de grand nombre d’entre nous au sujet de ce quatrième volet, soit due a un quelconque problème de génération. (En ce qui concerne l’évolution scénaristique et autres évolutions techniques.)
    Ton argument qui voudrait que la plus part des gens seraient certainement déçut si « les aventuriers » sortaient aujourd’hui est non seulement purement spéculatif, mais absurde. Car beaucoup de spectateurs l’ont découvert bien après sa sortie et continue à le découvrir et à l’apprécier.
    (Notamment la génération de moins 20 ans). C’est comme si tu disais que Mozart serait dépassé aujourd’hui, pour rappel personne n’est de la génération de Mozart depuis un petit moment et pourtant, Mozart fait chaque année de nouveaux fans.…. Un classique c’est un classique, et comme le veux la formule, un classique ça ne se démode pas. (Y a qu’à voir « Les Dent de la Mer », qui dit mieux ? Qui fait mieux ? Et c’était 5 ans avant Indy !)

    De plus, prenons l’exemple des « Bond », 40 ans que ça dure !
    Des missions pas toujours au top, des acteurs, des metteurs en scène et autres scénaristes plus ou moins bien inspirés, tous soumis au même dictat que Spielberg et Lucas (le temps qui passe, l’attente des fans, la pression de faire toujours mieux, de se renouveler ou pas, etc., etc.…), et à la clef, un des meilleurs bond (presque à tout point de vue) qui soit « Casino Royale ».

    Alors très franchement les excuses du temps qui passe, des fans de la première heure peu objectifs, etc., etc.…Je n’y crois pas trop.
    Un film est réussi ou non (il y a plusieurs critères pour l’expliquer). D’ailleurs il est toujours étrange de constater que la plus part des critiques qui défendent le film, avouent (à demi mots ou entre les lignes), que le film n’est pas vraiment bon, mais merde c’est Indy !!

    Si ça ce n’est pas une réaction de fan pas trop objectif, j’y perd mon latin !!!!

    P.S. une leçon de cinéma, commence par un bon scénario. Y a qu’à voir les réactions des Péruviens, qui se « marrent » de voir le grand Professeur Jones, confondre Le Mexique et le Pérou !! (quand il dit avoir appris le quechua avec Pancho Villa !!!!)
    pao
    le 10 juin 2008 13h53
  • 70
    J'attendais avec impatience le retour du grand indy et ma foi je ne fus pas déçue. Beaucoup d'actions et d'aventures , un petit zeste d'humour et de second degré et revoilà Indiana Jones. Certains pourrait regretter le grand classicisme de cette aventure mais de toute façon si tout avait été chamboulé d'autres fans auraient crié au scandale. Donc je tire quand même mon chapeau à Lucas, Spielberg et Ford
    pour toujours arriver à nous distraire et nous divertir malgré les années qui passent
    aaricia
    le 10 juin 2008 16h37
  • -
    Pour éviter de trop encombrer cette rubrique qui n'est pas fait pour les discution, j'invite PAO à me rejoindre s'il le veut dans le forum du site pour une joute verbale sur le sujet qui nous anime.

    PS: je demandrai à ce que le Staff efface cet avis lorsque Pao aura répondu à mon invitation.

    Pao, c'est à toi de jouer; le post est dans la rubrique Cinéma du forum, j'y est déjà remis nos avis au sujet du film pour peut être faire participer les autre membre du forum... A bientôt.
    Darth Plejus
    le 15 juin 2008 13h33
  • -
    vous pouvez retirer l'invite,svp, ça fait un moment que j'ai répondu, mais il n'est jamais venu, zaïzaïzaïzaï (comme disait Joe Dassin!)
    Merci.
    Pao
    pao
    le 6 juillet 2008 01h53
  • 40
    quel malheur d'avoir compromis indy avec ce retour qui sent vraiment mauvais...
    les symboes sont bien trop mis en avant, on essaye d'avoir le spectateur en montrant un fouet, un chapeau... un phobie...

    mais le reste est vraiment mauvais... pas d'intrigue, on nous sert tout tot de suite...

    c'est raté...

    indiana jones restera pour moi une trilogie...
    noumayos
    le 28 septembre 2008 00h17
  • 80
    le film doublé au Québec a été une erreur et la voix d'indiana jones québécoise fait perdre toute crédibilité au personnage.
    Savez-vous si le dvd qui sera vendu au québec peut avoir le doublage français (la voix de darvois)??? Car les films provenant de france ne peuvent être visionnés en amérique à cause du codage européen????
    indy007
    le 26 octobre 2008 17h30
  • 40
    Etonnamment, tout le monde attendait un 4ème volet aux aventures du plus célèbres des archéologues, à défaut d’être le plus crédible. On ne peut pas reprocher à Spielberg et à Lucas d’avoir attendu presque vingt ans pour nous pondre cette barquette surgelée réchauffée au micro-onde. Les deux messieurs étant des artistes, ils ont donné leur priorité à d’autres projets, ce qui est en soi tout à fait légitime. Mais la pression des fans étant là, le besoin de dollars tous frais aussi peut être (allez savoir ?…), ils n’ont donc pas pu résister à nous concocter une quatrième aventure de cet alter ego à chapeau de 007.

    La comparaison est d’importance. En effet, nul n’ignore que Spielberg est un grand fan de James Bond et qu’il rêvait d’en faire un dans les années soixante dix. Le fait qu’il ne soit pas Anglais (oui ça a changé maintenant et un Néo-Zélandais a pu nous pondre le pitoyable « Meurs un autre Jour » !) et une plage hawaiienne ont fait le reste. Qu’à cela ne tienne, il y avait Indiana Smith qui attendait dans les cartons de Lucas, et les deux potes ont fait rapidement un film de potes, fun et échevelé (quant à dire écervelé, je laisse cela à d’autres).
    Bien sûr, le succès aidant, deux suites sont arrivées, et le trilogie se clôturait par un couché de soleil, fermeture de rideau version cinéma.
    Malgré des épisodes très différents, il y avait de grandes ressemblances. On ne peut nier que « L’Arche perdu » et « le Temple maudit » n’ont rien à voir l’un avec l’autre. Le premier est une œuvre enlevée, légère, poussiéreuse, montrant essentiellement des extérieurs, le deuxième est un film sombre, plein de sadisme, à l’atmosphère étouffante de décors intérieurs, mise à part la ‘balade’ du début. « La dernière Croisade » était pour le coup un film très proche du premier, le premier ayant rapporter plus d’argent que le deuxième (mais ça n’a rien à voir…). Pourtant toujours on retrouvait des éléments d’un épisode à l’autre. Comme Colombo (tiens Spielberg en a fait un épisode…) Indiana Jones a son costume. Comme James bond aussi a son smoking. Il a ses accessoires : fouet, chapeau. Le tout est présenté dans le cadre d’un scénario avec des scènes clefs : le début en fanfare sans rapport avec le reste du film ( tiens, comme James Bond…), d’horribles bestioles, Indy pris au piège, le final explosif. Pour autant, comme on vient de la dire, chaque film avait sa personnalité. Alors qu’en est-il au juste de ce « Royaume du Crâne de Cristal » ?

    Hélas, avec ce quatrième opus, on a une impression de film à formule, ce qui est le péché des James Bond, jusqu’à « Casino royale » qui a changé la donne.
    Le film semble photocopier les autres et use lourdement des références. La formule est donc appliquée à la lettre : le début très remuant, puis la fac où Indy a son costume de prof, puis il met son costume de superhéros, il est pris au piège dans les sables mouvant, il doit faire face à des fourmis, et tout ça se termine par gros BOUM, et BANG. Ca n’a en soi rien de rédhibitoire, mais il n’y a là rien de neuf. On applique la formule et c’est bon !

    Plus que cette formule qui tourne en rond comme les James bond des années 80, c’est la lourdeur des citations qui plombe le film, d’autant qu’elles n’apportent pas grand chose. C’est amusant de voir l’arche d’alliance dans la Zone 51, mais à part un clin d’œil de deux secondes très « private joke », ça n’apporte rien. Idem pour le tour des photos dans le bureau : et c’est le papa, et c’est Marcus, et on a droit à la musique sirupeuse pour tirer la larmichette des spectateurs… Tout ça pour quoi ? Pour rien ! Et que dire des tableaux de Marcus, sa statue décapitée (on ne sait comment d’ailleurs !), scène qui se veut comique et qui ne l’est pas.
    La plus grosse référence à un autre film est bien sûr le personnage de Marion. Là aussi on peut mettre en doute son utilité réelle. Autant dans le premier elle avait son rôle : elle détenait le médaillon. Et puis elle passait d’un camp à l’autre au fur et à mesure des kidnappings, ce qui faisait qu’elle était à l’origine de péripéties du héros. Ici, par contre… Elle n’apporte rien aux Russes, qui la garde quand même on ne sait jamais. Elle ne fait pas avancer les choses non plus du côté des gentils. En fait son personnage ne sert à rien, si ce n’est comme faire valoir comique de Indy pour des scènes de ménage dont on se demande ce qu’elle vienne faire là. Cela voudrait-il dire que pour Spielberg un vrai couple est un couple qui passe son temps à s’engueuler ? La famille modèle n’existe pas, si ce n’est en cire et qu’elle est bonne à se faire incinérer ? Ma foi, ça pourrait être le vrai propos du film en reliant le début, incompréhensible, le milieu insupportable, et la fin larmoyante.

    Le film est en effet très inégal, et on a du mal à savoir ce qui se passe, pourquoi et où tout ça nous mène.
    Dans « les Aventurier de l’Arche perdu » les choses étaient simples : mettre la main sur l’arche d’alliance avant les Nazis. Idem dans « le Temple maudit » : récupérer les pierres sacrées et ramener les enfants. « La dernière Croisade » était bicéphale, d’abord rechercher le père, ensuite trouver le Graal. Dans « le Royaume du Crâne de Cristal », quel est l’enjeu ? On n’en sait rien ! Faut-il trouver le fameux crâne ? Même pas. On a donc du mal à adhérer à la quête du héros, ne sachant pas ce qu’il cherche (le crâne, son ami professeur, la mère de Mutt ?...). Tout cela est inutilement compliqué.
    S’en est si compliqué que les personnages sont de vrais moulins à paroles. Et allons-y pour des minutes et des minutes de dialogues qui n’aboutissent à rien. Le syndrome « Menace fantôme » ressortant ici. Le troisième opus prenant déjà cette pente savonneuse, là où les deux premiers n’était que pure cinématographie (à défaut d’être son meilleur film par manque de « chair » intellectuelle, « l’Arche perdu » est le film de Spielberg le mieux réalisé…avec « Duel »).

    Il y a donc de longs passages à vide, quand le reste est soit mou du genou, soit ridicule au possible.

    Le meilleur du film est et restera le début. On a droit à 20 minutes de pure démence qui s’enchaînent à la mitrailleuse. Et avec des plans certes surfaits ou attendus, mais bien venus. On passera sur le plan de la montagne qui ouvre traditionnellement le film (on est dans la formule et il n’ont rien trouvé de mieux que ça…), pour se concentrer sur le reste. Un générique très lucasien : les années 50, les voitures, la vitesse, l’Amérique de l’ouest. Bien sûr Spielberg n’évitera pas les effets de rétroviseurs… Ensuite c’est le héros mal en point, puis l’excellente idée (ou pétard mouillé comme on veut) de la Zone 51, l’allusion à Roswel (personne n’a lu le bouquin de Karl Phlock ?) et le trait d’union au dernier plan de « l’Arche ». Ah !, c’est donc bel et bien le retour d’Indy dans une intrigue à la « Black & Mortimer » ? C’est ce qu’on espère.
    Et après la découverte d’une momie grise et un début d’embrouille (révélateur du reste du film) on plonge dans la course poursuite non stop à la « Temple maudit ». Le temps de souffler et on aura droit à la meilleure scène du film, avec Indy perdu chez Ken et Barbie qui n‘a d’autre moyen pour survire que de s’enfermer dans un frigo ! La simple mention de cet élément scénaristique pousserait à rire et à nous faire croire qu’on est dans une parodie. Mais non, tout cela est très sérieux, et dès l’apocalypse nucléaire balancée, on se retrouve dans un pseudo « Mission Impossible » (ou « Minority Repport » qui n’en est qu’un remake à peine déguisé), qui en reste à une scène d’interrogatoire.

    Le film change alors pour du blabla imbuvable et une course poursuite ramollo conduite par un Shia Leboeuf insupportable (le fait-il exprès ?).
    Cette pause permet au spectateur de se reposer avant que le film ne sombre en arrivant au Pérou.

    Outre qu’on en est déjà à la moitié du film et qu’un ne sait toujours pas ce que ce film raconte (ah, c’est du Ingmar Bergman ?...), on a droit à une multiplicité de scènes grand guignol.
    L’exploration du cimetière est en soi assez pitoyable. C’est quoi ces bonshommes qui sautent partout avec un masque aussi effrayant que Coluche dans « la Vengeance du Serpent à Plume » ? Il suffit de sortir son flingue et c’est fini. Le film n’aurait-il pas des relents colonisateurs à la « Tintin au Congo » (qui lui s’inscrivait dans son époque bien différente, comprennent ceux qui ont eu des légionnaires comme ancêtre…).
    On atteint à ce moment clef du film un sommet de médiocrité cinématographique. C’est en effet la découverte du crâne de cristal et…? Et RIEN ! On le sort de son chiffon, on dit « Ô, c’est quoi ce truc ? » et puis c’est tout, le tout filmé aussi platement qu’un épisode de Derrick. N’est-ce pas l’artefact ultime, encore plus fort que l’arche d’alliance, les pierres sacrées et le graal, l’élément moteur de l’intrigue (ah bah non, on a vu qu’il n’y en avait pas d’intrigue…) ? Rien à voir avec les scènes des trois premiers épisodes à la découverte de l’objet. Ici, rien. D’ailleurs Indy, comme nous, ne sait à quoi tout ça rime et il n’en connaît pas plus sur le crâne que le spectateur lambda.

    Le film sombre alors complètement dans la médiocrité en une parodie de films d’aventure, hélas pas drôle.
    Si ce n’est pas interdit de jouer avec les codes du genre, ici on a droit à tous les stéréotypes du film de jungle. La femme hystérique (retour de Marion, sans commentaire…), les sables mouvants, le serpent, la jungle, le précipice, la cascade…
    Les séquences s’alignent avec agacement. La séance d’hypnose n’a rien d’extraordinaire, la révélation sur le crâne tombe comme un cheveu sur la soupe (les Soviétiques trimballent vraiment un cadavre d’extraterrestre dans leur valise quand ils vont dans la jungle ?), les scènes de ménages sont insupportables, le combat à l’épée est ridicule au possible (c’est « Charlie’s Angels » ou quoi ?), avant de définitivement tomber plus bas que terre avec la scène des singes, d’ailleurs aussi crédibles que ceux de « Jumangi » (oui mais eux dataient de 1996 et sortaient d’un jeu). Hommage lourdaud à « Tarzan » avec Johnny Westmuler.

    Cet enchaînement a lieu avant un final aussi banal que mou. On évitera de s’étendre sur le traitement réservé aux Indiens (autant ça passe dans une introduction, mais en conclusion d’un film...) La salle des squelettes est certes très belle, mais le climax ne convainc pas.
    Quant à la scène finale, on se dit qu’au moins c’est fini pour de bon et qu’on n’aura pas un Indy 5 avant longtemps.

    On terminera ici sur cette lecture très mitigée, pour ne pas dire plus, d’un film qu’on attendait et espérait infiniment meilleur. Lucas ayant toujours su trouver de bon sujet (hélas Lawrence Kasdan et Philippe Kaufman n’écrivent plus ses s depuis longtemps), Spielberg étant un metteur en scène réalisant avec fluidité (avec ses marottes : rétroviseurs et ombres chinoises), un objet mystérieux (arnaque ou pas), un contexte intéressant (les communistes russes), pour un film de jungle en Amérique du sud, avec extraterrestres, mystère et tout le tralala qu’on trouve dans « Vol 714 pour Sydney ».
    Ne reste qu’au final un départ sur les chapeaux de roues, et une double morale pour le moins douteuse : il ne vaut mieux rester idiot et avoir une famille en décomposition pour être heureux ! C’est le parallèle qu’on peut faire entre le début et la fin du film, le savoir atomique rayant tout sur son passage, comme le volonté de savoir carbonisera Irina Spalko. La famille idéale américaine (papa, maman, les enfants et la télé) subissant le même sort, alors que Indy qui ne sait même pas qu’il est père d’un j’en foutre vivra heureux avec une femme qu’il n’a pas revu depuis vingt ans, avec maintes et maintes aventures entre temps. Le divorce et la famille déchirée étant l’éternel sujet de Spielberg.
    guitou
    le 19 juillet 2010 10h32
  • 70

    Indy est enfin de retour sur grand écran après une très longue absence. On était en droit de s'attendre à un scénario de folie, il n'en est rien. Pourtant le film débute sur une excellence séquence dans la zone 51 qui introduit la nouvelle époque et les nouveaux ennemis avec brio. Je me dis alors que c'est bien parti mais la suite me donna tort. Tout d'abord le fils d'Indy se révèle exaspérant du début à la fin, la méchante ne fait jamais peur, l'histoire des crânes de cristal est mal exploitée et la fin sent bon le nanard. Spielberg fait malgré tout parler son talent pour nous offrir un divertissement correct mais qui ne restera pas dans les mémoires.
    G7K
    le 16 novembre 2016 16h29

21 avis sont disponibles pour une moyenne générale de 67 sur 100.